ResidentEvil: Bienvenue à Raccoon City Attevient des théâtres aux États-Unis le 24 novembre et des cinémas britanniques le 3 décembre. Pour plus, consultez les nouveaux nouveaux films de jeux vidéo à venir au cours des prochaines années. Jack Shepherd Je suis l’éditeur de divertissement ici à Gamesradar +, vous apportez tous les
Resident Evil Bienvenue à Raccoon City News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 1,8 1995 notes dont 336 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Interdit aux moins de 12 ans Depuis le départ de la toute-puissante entreprise Umbrella Corporation, Raccoon City a sombré jusqu’à la ruine, et une menace terrible se terre au plus profond de ses entrailles. Lorsque le mal se réveille, un petit groupe de survivants va unir ses forces pour tenter de découvrir la vérité sur Umbrella, en espérant voir le bout de la nuit… Regarder ce film Cinemasalademande Location dès 4,99 € Orange Location dès 4,99 € HD Voir toutes les offres VODService proposé par Resident Evil Bienvenue à Raccoon City [4K Ultra HD + Blu-Ray] Blu-ray Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 213 213 205 205 106 106 Interview, making-of et extrait 504 Dernières news 26 news sur ce film Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critique Presse Le Parisien Mad Movies Ecran Large Filmsactu L'Ecran Fantastique Le Journal du Dimanche IGN France Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 7 articles de presse Critiques Spectateurs Après six films "Resident Evil" massac...menés en grande partie et en roue libre par le couple Paul Anderson/Milla Jovovich devant et derrière la caméra bon, il y en a quand même certains plus regardables que d'autres, reconnaissons-le, principalement dans la première trilogie, l'espoir de voir un jour une adaptation respectueuse de la saga vidéoludique pleine de virus et de laboratoires improbables tenait de la chimère la plus ... Lire plus Pitoyable .. autant fan du 1er jeu video .. un mythe .. mais là rien ne fonctionne , c'est faux, c'est pas bon bref un ennui voire pire . A fuir 'avais beaucoup aimé les films de Paul Anderson, et m'attendait à un film médiocre, avec ce nouveau Resident Evil qui est un reboot, mélangeant l'histoire des deux premiers jeux. Au visionnage, Le résultat, est plutôt réussi, on commence dans Raccoon City qui n'est plus une plus grand métropole comme dans Resident Evil Apocalypse, mais une petite bourgade qui meurt à petit feu,des méfaits de Umbrella. Cela offre à la fois une façon ... Lire plus Franchement, étant une fan de la licence Resident Evil depuis longtemps, je suis super déçu de ce film. J'ai simplement cru que c'était un sketch. 336 Critiques Spectateurs Photos 19 Photos Secrets de tournage Saga vidéoludique culte Créé par Shinji Mikami et Tokuro Fujiwara, le premier Resident Evil sur ordinateur a été conçu pour la PlayStation de Capcom en 1996. Depuis, la franchise s’est enrichie de plusieurs suites, spin-offs et réinterprétations et a influencé l’évolution des jeux de survie et de tir à la 3ème personne. Vingt-cinq ans plus tard, Resident Evil demeure la saga de jeux vidéo de Capcom la plus lucrative, grâce à ses 110 millions d’unités vendues dans l Lire plus Retour aux sources Lorsque la saga s’est achevée avec Resident Evil Chapitre final en 2017, le coprésident de Constantin Film, Robert Kulzer, a imaginé la relancer en revenant aux origines du jeu. Il se rappelle "On a eu l’idée de s’intéresser à la mythologie des jeux et de fouiller les événements qui s’y produisent. On n’avait jamais vraiment évoqué ce qui s’était passé à Raccoon City en 1998 et aux raisons pour lesquelles la société Umbrella Corporation Lire plus Un reboot Resident Evil Bienvenue à Raccoon City est un reboot de la célèbre série de jeux vidéo du même nom. Plus précisément, le film s'inspire des deux premiers jeux de la saga Resident Evil 1996 et Resident Evil 2 1998, mettant en scène des personnages emblématiques comme Chris Redfield Robbie Amell, Claire Redfield Kaya Scodelario, Leon S. Kennedy Avan Jogia, Jill Valentine Hannah John-Kamen et le méchant Albert Wesker Tom Hopper. 14 Secrets de tournage Infos techniques Nationalités Allemagne, Distributeur Metropolitan FilmExport Année de production 2021 Date de sortie DVD 24/03/2022 Date de sortie Blu-ray 24/03/2022 Date de sortie VOD 24/03/2022 Type de film Long-métrage Secrets de tournage 14 anecdotes Box Office France 203 058 entrées Budget - Langues Anglais Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa - Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
RESIDENTEVIL : BIENVENUE À RACCOON CITY De Johannes Roberts Par Johannes Roberts Avec Kaya Scodelario, Hannah John-Kamen, Robbie Amell Titre original Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or Phone: Password: Forgot account? Sign Up . RESIDENT EVIL : BIENVENUE À
Films La franchise de Capcom a droit à un reboot cinématographique, qui se démarque déjà des précédents films, mais sans jamais briller. La mode des adaptations de jeux vidéo au cinéma a vraiment explosé avec Resident Evil, film d'horreur réalisé par Paul Anderson, produit par Constantin Film et mettant en scène Alice, un personnage inédit incarné par Milla Jovovich. Un succès commercial, mais un massacre pour tous les fans de la franchise, les films ont vite oublié les jeux de Capcom pour faire leur vie dans leurs coins. Et voilà que quatre ans après le Chapitre Final, la paire P A et Constantin Film est de retour à la production de Resident Evil Bienvenue à Raccoon City. Cette fois, les producteurs ont changé leur fusil d'épaule, et ce reboot se base réellement sur les deux premiers jeux vidéo de la saga, à savoir Resident Evil Rebirth et Resident Evil 2 le remake, dans le manoir Spencer à Arklay et au commissariat de Raccoon City donc. Derrière la caméra, nous avons Johannes Roberts, habitué des films d'horreur vraiment pas terribles et des 47 Meters Down, un régal pour les amateurs de requins et de sang, mais c'est tout. Alors, que vaut ce Resident Evil Bienvenue à Raccoon City ? Eh bien, pas grand-chose malheureusement, mais tout n'est pas à jeter. Nous n'avons pas passé un trop mauvais moment devant ce Resident Evil Bienvenue à Raccoon City. Le film s'ouvre sur un flashback d'une jeune fille orpheline dans un orphelinat créé par Umbrella. Les scénaristes ne font pas dans la finesse et veulent ici donner de la profondeur à certains personnages, qui en ont en effet bien besoin. Cette jeune fille, c'est Claire Redfield, coincée dans ce lieu lugubre avec son frère Chris pour subir les expérimentations de William Birkin, et dès le début, le fan des jeux vidéo passe par plusieurs émotions. L'enfance des Redfield est rarement abordée dans les jeux, mais en y réfléchissant bien, leurs personnages ne sont vraiment pas caractérisés dans les deux premiers titres de Capcom, il fallait bien le faire ici, et cela fonctionne, moyennement. C'est surtout un prétexte pour éloigner les deux enfants, expliquer la tension qui les anime encore aujourd'hui et installer le personnage de Claire Redfield, la seule à avoir eu droit à un peu d'attention de la part des scénaristes. Si vous connaissez les jeux vidéo, vous n'allez pas vraiment être surpris, même si Resident Evil Bienvenue à Raccoon City prend des risques en mélangeant vraiment les deux jeux, donnant lieu à des rencontres inédites cocasses. La trame de l'histoire suit celles des jeux vidéo, avec bien sûr de gros raccourcis, il fallait bien réunir tous ces personnages et caser l'ensemble dans 1h47 de film. Mais mine de rien, le scénario se déroule sans temps morts, les fans reconnaissent presque chaque séquence sans que cela ne soit trop appuyé, Resident Evil Bienvenue à Raccoon City ne prend pas le spectateur pour un idiot et tente réellement de contenter les joueurs, même si cela est souvent fait de manière très maladroite. Et ça passe notamment par une écriture catastrophique du côté des personnages. Nous l'avons déjà dit, Claire Redfield vole la vedette à tout le monde. Déjà , parce que son personnage est central au scénario et qu'elle est incarnée par Kaya Scodelario Le Labyrinthe, la seule qui ne semble pas issue d'un casting alcoolisé fait après avoir visionné un fan film. Ne crachons pas non plus trop sur Chris Robbie Amell, il a la carrure de l'emploi, mais son personnage reste très sous-exploité, cantonné à Mr Muscle. Jill Valentine est cependant à des années-lumière du personnage des jeux vidéo, devenant ici une femme impulsive, Hanna John-Kamen Black Widow a du mal à faire ressortir les souvenirs des joueurs, préférant donner vie à un personnage nouveau, mais n'est pas si mauvaise. Mais le vrai problème de ce casting, ce sont Leon S. Kennedy et Albert Wesker. Ce dernier est ici moins caricatural que dans les jeux, parfois drôle et même touchant, dépassé par les évènements qui surviennent à Arklay, mais campé par un Tom Hopper toujours à l'ouest dans son jeu, n'arrivant jamais à transmettre la bonne émotion. Et Leon... eh bien, disons que son personnage ne sert absolument à rien dans le film, et qu'Avan Jogia étant le sosie parfait de Carlos Oliviera Resident Evil 3, l'immersion est complètement ratée, allant même jusqu'à lâcher une punch line digne des pires films d'action à la toute fin, bien loin de son rôle de jeune flic novice dans les jeux. Certes, comparer les jeux vidéo au film n'est pas forcément la chose à faire, mais même en ne se focalisant que sur ce long-métrage, les personnages manquent de profondeur, les scénaristes ont voulu caser trop de monde en trop peu de temps, en résultent des caractérisations bien trop rapides et un attachement à ces héros quasi inexistant tout au long du film. Comme les jeux de Capcom, Resident Evil Bienvenue à Raccoon City est vendu comme un film d'horreur, interdit aux moins de 12 ans dans les salles de cinéma françaises, et il faut bien avouer qu'il fait le job, si vous aimez les jump scares prévisibles avec le son qui vous casse les tympans. Johannes Roberts ne fait pas dans la finesse, avec des zombies ou autres éléments qui surgissent d'un coup sur les personnages, c'est de l'horreur pop corn, mais il faut bien avouer que cela fonctionne si vous êtes amateur du genre. Le film aurait également pu être une œuvre gore, si le sang n'étant pas aussi sombre, caché par un éclairage lui aussi peu lumineux. Et pourtant, des morts sanglantes, il y en a, mais pas de quoi choquer les habitués de l'horreur, en film ou en jeu vidéo. Et il ne manque que les monstres... Resident Evil Bienvenue à Raccoon City pioche dans le bestiaire de Resident Evil Rebirth le remake GameCube du premier volet et de Resident Evil 2, avec notamment un Licker furtif, sur-utilisé dans les bandes-annonces, mais finalement peu présent, ne donnant lieu qu'à un combat... improbable, nous n'en dirons pas davantage pour ne pas vous gâcher la surprise. L'occasion de mentionner les effets spéciaux en 3D, qui permettent des animations plus fluides, mais qui manquent encore pas mal de budget pour impressionner les joueurs, habitués aux cinématiques désormais photoréalistes dans les jeux. Et pourquoi parler de RE Rebirth ? Eh bien, parce que Lisa Trevor est de la partie, cette jeune fille au visage caché par la peau du cadavre de sa mère dans le jeu vidéo a ici pas mal de temps à l'écran et arrive à être à la fois effrayante et touchante, comme dans le jeu donc. Pour le coup, c'était une bonne surprise, et cela compense avec les zombies, pourtant centraux dans Resident Evil. Ici, les infectés au Virus-T sont quand même très mal maquillés, ressemblant davantage à des goules malades qu'à des créatures en putréfaction, même s'il est vrai que l'incident est assez récent. D'ailleurs, nous voyons régulièrement la ville de Raccoon City sombrer petit à petit dans l'horreur, une originalité bienvenue et qui montre l'étendue de la catastrophe, pas seulement cantonnée à un manoir dans les montages ou à un commissariat. S'il y a bien un point sur lequel Resident Evil Bienvenue à Raccoon City nous a étonnés, c'est sur sa mise en scène. Le réalisateur n'est pas doué, nous l'avions déjà vu dans les 47 Meters Down, mais il a visiblement été aidé par son directeur de la photographie Maxime Alexandre Crawl, Shazam!, Catacombes et le film nous propose quelques fulgurances, comme un plan-séquence dans une voiture principalement à l'arrêt, mais quand même ou encore l'utilisation d'une double focale, un vieux trucage pour avoir une image entièrement nette malgré deux profondeurs de champ. Pour un film qui ressemble quand même dans son ensemble à un fan movie avec un peu de budget, c'est appréciable, et cela démontre bien un point Resident Evil Bienvenue à Raccoon City essaye de faire des choses. Il tente des idées, ose des mises en scène atypiques, à l'image d'un combat entre Chris et des zombies éclairé au briquet, petit clin d'œil à l'objet des jeux et qui accouche d'une réelle tension, même si l'image alternant entre le noir total et la lumière de la flamme n'arrive pas à sublimer la tentative. Mais le film ne se contente pas de cadrer bêtement ses plans, de filmer des combats nerveux rassurez-vous, aucun coup spécial de kung-fu n'est lâché ici, il ose placer la caméra à des endroits inattendus, soigne son éclairage pour mettre en avant certains éléments comme le manoir d'Arklay et, même si cela reste rare ou maladroit, le spectateur apprécie l'effort. Avouons-le, après avoir souffert pendant des années avec la saga de Paul Anderson, nous craignions d'aller voir ce Resident Evil Bienvenue à Raccoon City, mais finalement, le film se laisse regarder. Il est loin d'être une réussite, l'écriture est globalement ratée à force de vouloir mettre trop de choses dans un seul long-métrage, le casting est vraiment en dents de scie, les effets spéciaux auraient mérité un peu plus de soin, mais grâce à sa mise en scène qui tente des choses et ses nombreuses références aux jeux vidéo, souvent bien utilisées et rarement forcées, nous n'avons pas passé un trop mauvais moment devant ce Resident Evil Bienvenue à Raccoon City. Bon, il y a bien une scène post-générique teasant une suite, mais il ne faut pas trop pousser non plus... Note 2 étoiles sur 5 Si vous voulez un vrai bon Leon S. Kennedy, tournez-vous vers le remake de Resident Evil 2, vendu 24,02 € sur Amazon, 29,99 € à la Fnac ou 19,99 € chez Micromania. Clint008Rédacteur - Testeur
Àquelques semaines seulement de sa sortie, Resident Evil : Bienvenue à Racoon City se dévoile enfin dans une première bande-annonce. Quelques mois après la sortie du dernier opus de la saga vidéoludique, Resident Evil Village, l’univers s’apprête cette fois-ci à envahir le grand-écran.
Le film se dévoile déjà dans les grandes largeurs et prouve qu'il sera vraiment proche des jeux vidéo. Et voilà à quoi ressemblera le Tyrant version Resident Evil Bienvenue à Racoon City ! Quelques jours après la mise en ligne de la première bande-annonce, un nouveau trailer international du nouveau film adapté des jeux vidéo Capcom a été mis en ligne par Sony Pictures voir ci-dessous. Une vidéo différente, qui dévoile donc des images inédites, dont un rapide aperçu d'un monstre immense, qu'on devine être le big boss final historique de Resident Evil, à savoir le Tyrant. Avant ça, on retrouve surtout Claire Redfield, de retour dans sa ville et chez son frère, alors que l'Apocalypse zombie commence. On devine aussi au passage que l'armée d'Umbrella va débarquer... pour faire en sorte que le secret soit gardé à jamais ? Le pitch officiel "Situé en 1998, Resident Evil dévoile enfin les secrets du manoir Spencer et de la ville qui fut autrefois le siège florissant du géant pharmaceutique Umbrella Corporation. Depuis le départ de la toute-puissante entreprise, Raccoon City a sombré jusqu’à la ruine, et une menace terrible se terre au plus profond de ses entrailles. Lorsque le mal se réveille en semant l’horreur, un petit groupe de survivants va unir ses forces pour tenter de découvrir la vérité sur Umbrella, en espérant voir le bout de la nuit…" Resident Evil Bienvenue à Racoon City, réalisé par Johannes Roberts, sortira le 24 novembre prochain dans les cinémas. Au casting, on retrouvera Kaya Scodelario Le Labyrinthe incarnera Claire Redfield ; Avan Jogia Zombieland 2 sera Leon S. Kennedy. Hannah John-Kamen Ant-Man and the Wasp reprendra le rôle de Jill Valentine face à Robbie Amell Upload dans le rôle de Chris Redfield. Tom Hopper Black Sails sera le Capitaine Albert Wesker. Neal McDonough DC's Legends of Tomorrow sera le virologiste et savant fou William Birkin. Enfin, Donald Logue jouera Brian Irons, le chef ripou de la police de Raccoon City.
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